Cohomly : soutiens entre foyers et universitaires

Cohomly a fait d’un domaine sous-exploité, celui du lien entre les étudiants et les familles, une expérience inédite à ne pas rater. En fait, il s’agit d’un concept de logement étudiant contre service. Plus particulièrement, pour les familles qui ont besoin d’un accompagnement pour leurs enfants (baby-sitting, aides aux devoirs, cours particuliers….). Par manque de moyens de posséder un logement correct à moindre coût, la majorité des étudiants opte pour ce type particulier de cohabitation. Toutefois, malgré les bienfaits de ce type de contrat, il faut faire attention car à chacun sa mentalité. Il est possible de tomber soit sur des familles arnaqueuses, soit sur des étudiants mal intentionnés. Les probabilités de déceptions sont nombreuses. Pour les éviter au maximum, voici un petit guide à suivre au plus près.

Tout connaître sur ce nouveau concept

Avant de se lancer dans quelque chose, il est primordial de bien connaître la chose en question. De ce fait, voici les caractéristiques du logement étudiant contre service.

Notion d’entraide entre famille et étudiant

Vu que c’est un système donnant-donnant, alors les deux parties ont chacune leurs responsabilités. Chacun y trouve son bonheur, les parents font des économies en plus de gagner des services, tandis que l’étudiant d’avoir un chez-soi correct et à moindre coût. Les dépenses sont divisées en deux parties égales. Pour aller plus loin, vous pourriez obtenir des infos sur comment économiser sur vos appareils électroménagers dans ce contenu.

L’étudiant

En échange d’un endroit où habiter, l’étudiant se doit de fournir un service à son bienfaiteur. La recherche et assez vaste, mais normalement, il peut le recadrer avec ses principales attentes. En d’autres termes, le propriétaire devient l’employeur de l’étudiant, et le logement est vu comme le lieu de travail.

La famille

Pour bénéficier des services d’un étudiant en échange d’un logement, la famille doit en premier lieu posséder une chambre vacante au sein de son foyer. Ensuite, il est nécessaire que cet endroit fasse au moins 9 m². De plus, elle doit être équipée d’un minimum de commodité : fenêtre, chauffage, sanitaire.

Où trouver ce type de marché ?

Actuellement, les réseaux qui offrent ce genre de service pullulent sur le marché. Si on est novice dans ce domaine, on peut se faire arnaquer facilement. Pour éviter ce genre de cas, il est nécessaire de se connecter à des réseaux d’entremises de confiance. Même avec la présence de personnes mal intentionnées, il est possible de trouver des individus sûrs. Pour cela, il est utile de passer par des portails de liaisons. Généralement, les annonces qu’elles postent ont été soigneusement traitées avant publication. De ce fait, elles sont on ne peut plus sérieuses. Les risques de tomber sur des personnes malhonnêtes diminuent.

Les types de services et de voisinage existants

Les aides que peuvent vous fournir vos éventuels étudiants sont très variées. Que ce soit du baby-sitting, pour vous permettre de prendre un peu de bon temps, ou encore le fait d’enseigner des savoirs particuliers à vos enfants, comme les langues étrangères ou autres. Le choix est assez large.

Pièce chez le propriétaire

C’est un habitant qui propose une chambre de libre à un étudiant, en échange d’aides particulières. Si le propriétaire a des enfants, il a le droit de demander soit du baby-sitting ou de l’aide pour les devoirs des enfants. Si ce n’est pas le cas, il peut demander à l’étudiant de faire du repassage, les courses ou autres tâches ménagères possibles. Avec ce type de cohabitation, l’étudiant a droit à un toit, en ne payant rien ou peu. Le montant de la sous-location varie selon les aides fourni. Selon la loi, le temps de travail normal se situe entre 10 à 12 heures par semaine. Dans le cas d’un dépassement de ce seuil, le propriétaire aura l’obligation de payer des heures supplémentaires à l’étudiant.

L’habitation entre générations

Comme son nom l’indique, c’est le fait d’habiter avec un individu âgé. Dans ce cas-ci, l’étudiant bénéficie d’un endroit spacieux et aisé à moindre coût. Selon l’accord signé entre les deux parties, le loyer peut être gratuit en faveurs des services exécutés. Pour plus d’informations là-dessus, il est nécessaire de contacter les professionnels, tel que Cohomly.

La cohabitation inclut dans la vie de quartier

Il s’agit ici d’une cohabitation conclu entre 3 à 6 étudiants, qu’on appelle le Kolocs. Pour la durée d’une année universitaire, ces étudiants sont logés dans un habitat meublé et bien pourvu à un prix très bas. En échange, ils ont le devoir de s’investir dans le projet de service solidaire Kaps. Par ailleurs, le choix des étudiants dépend entièrement de cette motivation à se donner à fond pour quelque chose. En guise d’exemple de services demandés, on trouve l’animation, soutien scolaire…..

Modèles de contrats

Peu importe le type d’habitation choisi, dans un accord entre deux parties, il est toujours primordial de signer un contrat détaillant l’accord en question. On peut y trouver le prix du loyer, les services demandés, les sanctions en cas d’entraves…

Monter un contrat de travail

Ce contrat doit stipuler les détails suivants :

  • Les caractères d’habitation et d’aides,

  • Les horaires de travail,

  • Les RTT,

  • La méthode de paye en cas d’heure supplémentaire.

Mettre sur pied un accord de bail

Dans ce dernier, on doit voir :

  • Le prix à payer pour la sous-location

  • L’organisation commune (couvre-feu, tâches ménagères…)

  • Le partage des coûts (eau, téléphone…)

Documents rattachés au contrat

Pour que tout soit en règle aux yeux de la loi, le propriétaire doit joindre à son dossier de sous-location :

  • un diagnostic de performance énergétique (DPE).

  • un constat plomb, pour les logements datant d’avant le 1er janvier 1949.

  • un état des risques naturels et technologiques (ERNMT), pour les habitations en zone de risque.

Astuces pour le bon déroulement des démarches

En résumé, avant de se lancer dans l’expérience d’un logement étudiant contre service, il est essentiel de rédiger clairement un contrat. Ensuite, la clé de la réussite est de loin, le respect du voisinage et de leur habitude. Pour terminer, mêmes si les tâches ménagères ne sont pas incluses dans le contrat signé, il faut penser à en faire pour ne pas frustrer le propriétaire. Une fois que tous les ingrédients sont complets, la réussite de la cohabitation est assurée.

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